Immobilier rue des arts à Toulouse
Immobilier rue des arts Toulouse
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Histoire du rue des arts
Au Moyen Âge, l’actuelle rue des Arts était divisée en deux parties. La première, de la rue Croix-Baragnon à la rue Cantegril, était connue au début du xive siècle comme la rue des « Banniers » : carrièra dels Banoyes en occitan, carriera Baneriorum en latin. L’origine de ce mot est discutée et rappellerait soit les artisans vanniers, soit les fabricants de courtepointes et de couvertures (vana en occitan). Au xvie siècle, elle prit le nom de rue des Augustins, tout comme les actuelles rues Peyras, Genty-Magre et Antonin-Mercié, car elle longeait les bâtiments du couvent des Augustins, installé en ce lieu depuis le xive siècle. La deuxième partie de la rue, de la rue Cantegril à la rue du Fourbastard, avait le nom, au xive siècle, de rue du Puits-des-Deux-Carres, c’est-à-dire « des deux rues » (carrièra [archive] en occitan), car un puits de ce nom se trouvait au croisement des actuelles rues de la Pomme et du Fourbastard. Au xvie siècle, cette rue prit le nom de rue des Estagnères-Vieilles, car on y trouvait de nombreux artisans étameurs (estanhièro en occitan), fondeurs d’étain1.
À la Révolution, en 1794, les noms des rues furent modifiés par décision de la municipalité. Les deux rues des Augustins et des Estagnères-Vieilles furent réunies et renommées ensemble rue du Niveau, référence au « niveau national ». Elles perdirent rapidement cette appellation et devinrent en 1796 la rue du Grand-Soleil, car une hôtellerie de ce nom se trouvait dans une des maisons, au no 12, face à la rue de la Colombe (actuelle rue de Metz). En 1806, la rue prit finalement le nom de rue des Arts, après l’installation de l’École des beaux-arts dans une partie des bâtiments du couvent des Jacobins, désormais désaffecté. Elle ne le perdit cependant pas après le départ de l’École pour ses nouveaux locaux du quai de la Daurade en 18922,3.
Quartier Saint-Etienne
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